Déborah Garcia

ENCHANTÉE,
je m’appelle Déborah,
j’ai 26 ans,
je suis créatrice de contenu
et autrice depuis 2017.

ENCHANTÉE,
je m’appelle Déborah,
j’ai 26 ans,
je suis créatrice de contenu
et autrice depuis 2017.

Déborah Garcia

Dans ma vie, tout a été une question de hasard. Et me retrouver ici est l’une des plus belles.  

Tout au long des saisons de mes 16 ans à hier, je n’ai jamais su quoi entreprendre. Dans ma vie personnelle, c’était tellement le chaos que penser à un avenir professionnel était infaisable. Et dans l’impossibilité d’y réfléchir, tant l’angoisse que je vivais était présente, j’ai commencé à écrire.  

Au départ, je publiais des textes sur mes copines, sur nous, sur nos écarts d’adolescentes un peu à part, je le faisais comme ça pour rire, sans réfléchir.  

Et sans s’en rendre compte, en me couvrant d’amour sur mes citations, deux de mes copines ont fini par m’offrir la plus belle des aubaines : une voie professionnelle pour ma vingtaine.  

Progressivement, j’ai compris qu’écrire pouvait m’aider à grandir sainement. Alors après les rires en bande, j’ai osé pleurer les mots de ma romance.  

Partout où j’étais, partout où je me rendais, à 18 heures pendant des années, je déposais un aurevoir, plus sincère que celle que j’étais chez moi. Un appel à l’aide répandu dans la France entière, qui s’est transformé, grâce à vous, en ma plus belle histoire d’amour. 

Et de cette aventure, qui est désormais la nôtre, j’ai pu prendre mon envol.  

J’ai fait mes valises, j’ai déposé mes bagages. Dans un petit espace carré, multiplié, j’ai  créé ma chance, et vous m’avez offert la liberté. 

Dans ma vie, tout a été une question de hasard. Et me retrouver ici est l’une des plus belles.Tout au long des saisons de mes 16 ans à hier, je n’ai jamais su quoi entreprendre. Dans ma vie personnelle, c’était tellement le chaos que penser à un avenir professionnel était infaisable. Et dans l’impossibilité d’y réfléchir, tant l’angoisse que je vivais était présente, j’ai commencé à écrire.

Au départ, je publiais des textes sur mes copines, sur nous, sur nos écarts d’adolescentes un peu à part, je le faisais comme ça pour rire, sans réfléchir.

Et sans s’en rendre compte, en me couvrant d’amour sur mes citations, deux de mes copines ont fini par m’offrir la plus belle des aubaines : une voie professionnelle pour ma vingtaine.

Progressivement, j’ai compris qu’écrire pouvait m’aider à grandir sainement. Alors après les rires en bande, j’ai osé pleurer les mots de ma romance.

Partout où j’étais, partout où je me rendais, à 18 heures pendant des années, je déposais un aurevoir, plus sincère que celle que j’étais chez moi. Un appel à l’aide répandu dans la France entière, qui s’est transformé, grâce à vous, en ma plus belle histoire d’amour.

Et de cette aventure, qui est désormais la nôtre, j’ai pu prendre mon envol.

J’ai fait mes valises, j’ai déposé mes bagages. Dans un petit espace carré, multiplié, j’ai  créé ma chance, et vous m’avez offert la liberté.

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